Mon parcours

PSYCHO-ENERGETICIENNE

Karine Oussatoff

Mes premières réponses à cette question m’orientaient vers le secteur médical/paramédical. J’amenais la première composante : LE CORPS. Je trouvais passionnant les connaissances que nous pouvions avoir du corps humain, cet organisme biologique doté d’un fonctionnement fabuleux. En associant la notion d’aide, je me cherchais à travers des métiers tel que kinésithérapeute, ostéopathe. Je continuais ma scolarité tout en peaufinant mon projet. Il manquait un élément…

« Qu’est-ce que tu veux faire dans ta vie ? »

Cette question, nous l’avons tous entendu, dès notre plus jeune âge, de la bouche de nos proches soucieux de notre avenir, de différents acteurs de la société, dans laquelle notre identité est souvent réduite au « métier » que nous choisissons d’exercer.

S’est ajouté la deuxième composante : LE PSYCHISME. Tout n’était pas que matière, il y avait bien autre chose ! J’engageais mes études et continuais ma réflexion me dirigeant vers les métiers de psychomotricienne, puis éducatrice en activité physique adaptée. Altruisme et empathie ont eu raison de moi, je mettais officiellement un pied dans le secteur social en terminant mes études en tant qu’éducatrice socio-sportive. Je fus séduite par l’idée pertinente d’utiliser l’activité physique et sportive comme un outil de travail à partir duquel on (re)mettait le corps en mouvement. En réalité, il n’y avait pas seulement le corps qui se (re)mettait en mouvement, mais ça bougeait également sur les plans psychique et émotionnel ! Dans cette approche, j’ai eu l’occasion d’observer des personnes se libérer de charges émotionnelles à travers les activités physiques artistiques, ou encore d'autres avoir des déclics dans le cadre d’activités de pleine nature, et prendre conscience, une fois sortie de leur zone de confort, qu’elles étaient « capables » alors qu’elles se pensaient « incapables ».

Quelques années plus tard, je me suis trouvée happée par le « monde des énergies », celui qui me tendait les bras depuis toute petite et sur lequel j’avais fermé les yeux. Il ne m’était pas rare de ressentir ou de voir, de savoir sans pouvoir expliquer, dans des lieux ou auprès de personnes. Mais dans quelle case ranger cette prise d’information ? Cette approche énergétique n’était ni enseignée, ni banalisée, et quand bien même j’ai eu la chance d’avoir une famille ouverte sur ce sujet, j’ai choisi, par facilité et pour me préserver, de la mettre de côté. Une belle ouverture s’est alors présentée à moi il y a une dizaine d’année. J’étais prête à recevoir et, me disant qu’il n’y avait pas de hasard, j’étais décidée à faire quelque chose.

Les années qui ont suivi, j’ai eu l’occasion de rencontrer des professionnels, de me former et de développer mes capacités extra-sensorielles. Dans un état d’esprit d’aide à la personne, j’ai appris à m’en saisir pour le bien d’autrui.

Il y a 6 ans, j’ajoutais enfin la troisième composante de mon projet : L’ENERGETIQUE. Cette grille de lecture venait compléter la lecture du corps (biologique/mécanique) et la lecture du psychisme (psychologie). Elle apportait un éclairage supplémentaire et tout aussi pertinent quant aux blocages que pouvaient rencontrer des personnes. Le terme de «pratique holistique » prenait tout son sens. Je me suis lancée en tant que praticienne psycho-énergéticienne, soutenue par mon entourage. Les résultats des séances que je proposais m’encourageaient à poursuivre.

Après avoir exploré plusieurs horizons dans le champ du social, j’ai terminé mes dernières années en tant que conseillère et formatrice en insertion sociale et professionnelle. Cette approche m’a beaucoup plu, me sentant au plus près des gens pour les accompagner dans l’évolution de leur réflexion. Hors, j’atteignais des limites dans cet accompagnement et la question qui me venait était : comment soulever les freins de l’insertion sociale et professionnelle lorsque les causes sont plus profondes et liées à la sphère personnelle ? Cette autre sphère qui mêle à la fois les plans psychologiques et émotionnels ne relève pas des fonctions pour lesquelles j’étais en poste. Par contre, c’était exactement sur ces plans-là que je traitais en psycho-énergétique.

Et maintenant...?

Ma pratique actuelle résulte de l'association de la dimension d’accompagnementlever les freins qui bloquent / rendre accessible la progression d’un projet, quel qu’il soit – et la dimension du travail énergétiquelecture en clairvoyance des blocages et travail énergétique – dans une démarche d’introspectionpersonne actrice et active – dans un unique but : remettre du mouvement.